Customize Consent Preferences

We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.

The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ... 

Always Active

Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

No cookies to display.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

No cookies to display.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

No cookies to display.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

No cookies to display.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

No cookies to display.

Tribunal d'instance, TI d'Ivry-sur-Seine le 18/01/2019, n° 2019163

Rejet de la demande de résiliation de bail pour manquements grave à l’obligation de jouissance paisible du bien

Jurisprudence · Date de publication : 24/05/2019 · Date de modification : 26/02/2025

Expulsions locatives

Ti Ivry-sur-Seine, 18 janvier 2019, n°2019163

Une locataire est assignée par son bailleur en résiliation judiciaire de son bail en raison du comportement de son fils, jugé coupable de trafic de stupéfiants et de participation à association de malfaiteurs. Le bailleur expose que le fils de la locataire est un « élément clé » de l’insécurité du quartier.

Le tribunal constate que les faits reprochés au fils de Madame ne se sont déroulés ni dans son appartement, ni dans son immeuble ni à proximité de celui-ci, mais dans une autre « cité appartenant au même bailleur est située de 900 mètres à un kilomètre de distance des lieux incriminés. ».

Il juge en conséquence que le bailleur ne caractérise pas suffisamment le trouble constaté et le manquement du locataire à son obligation de jouissance paisible des lieux. La demande en résiliation du bail est rejetée.

Jurisprudence associée

© Jurislogement 2024
Avec le soutien de la Fondation pour le logement
X